• Après l’avoir raccompagné, j’avais lu une partie de la nuit et m’étais endormi très tard, pour me réveiller en début d’après midi.

    J’aime les sms coquins au réveil.

    Moi : Je viens de me reveiller, suis encore dans mon lit, j’ai envie de toi
    Moi : J'aime faire l'amour l'apres midi
    Elle : Et moi, matin, midi, soir…
    Moi : Huuummm ouiiiii c'est inquietant, tu veux m'epuiser, tout me vider....
    Elle : Ouiii...... t'inquiete coco.... j'aime vider un homme
    Moi : Haaaaa
    Elle : Je veux te voir....
    Moi : Tu veux me traire.... Tout prendre.... Terrible
    Moi : Viens !
    Moi : Viens te faire remplir de lait...
    Elle : Hummm !!!
    Moi : Je suis comme un fou... En souffrance.... Viens faire l'infirmiere....
    Moi : Je suis allongé sur le dos, viens t'empaler sur moi...
    Moi : Et je vais bien m'installer, et sucer et lecher ta chatte et ton clito pendant un long moment…
    Moi : BB, j'ai besoin... je souffre... Haaaaaa
    Moi : Haaaaa.....viens faire ton travail de femme, viiiite
    Elle : Je n’ai pas ma voiture. Je veux etre ton infirmiere, je vais demander un vehicule
    Moi : Oui, viiiiite Moi : Demande aux pompiers de t'emmener hahaha
    Moi : il faut au moins ça pour éteindre un incendie
    Elle : Ouais.

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  • C’est en la déposant en voiture à la fin d’une soirée que je l’ai embrassé.

    Dans la région, ils étaient beaucoup à lui courir après, souvent depuis bien longtemps, et c’est encore le cas. C’est moi le gars qui n’habite pas là et ne vient que de temps en temps qui l’avait attrapé. D’ailleurs l’animosité de certains de ces gars à mon égard était palpable, j’apprenais au détour d’une conversation que certains profitaient de mon absence pour dire des choses et hypothèses sur moi pas très gentille. On les comprends, ils ramaient depuis des années pour attraper cette fille et moi j’avais reglé la chose sous leurs yeux en quelques jours.
    Mes prétendument origines, ma gueule et mon look russo serbe semblait ne pas laisser indifférent, dans les établissements que elle et moi allions fréquenter, certain me regardait avec un silence plein d’interrogation, c’était amusant.

    Cette fille ne pouvait pas se contenter de sexe normal. L’ennui du coït de 22h00 n’était certainement pas son truc. A vrai dire, ici peu pouvait lui offrir autre chose. Et elle le savait.

    Ce soir là, on ne s’était que embrassé, mais entre nous le sexe était déjà partout, il irradiait, on aurait pu le toucher.

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  • Je n’étais pas vraiment de la région, ou ne l’étais plus depuis longtemps. J’y avais une grande maison ou je venais parfois, souvent aux beaux jours. Cette année là, après une rupture, j’y étais venu plus souvent. j’avais arpenté les rue de la petite ville d’à coté, fréquenté seul les cafés et diné dans les restaurants.

    Cette fille, la première fois, je l’avais vu à une terrasse de café, en passant devant. Quelque chose m’avait interpelé, une présence particulière, une originalité dans l’attitude, une différence, elle dénotait un peu avec l’environnement.
    Cette fois là, elle était déjà entourée de deux garcons. Par la suite j’avais constaté qu’elle était souvent accompagnée de sa cour masculine. Cette femme aimait la compagnie des hommes.

    La deuxième fois se passe dans un bar. J’étais adossé contre un mur à un mètre cinquante face au bar. Elle est entrée avec un copain, ils se sont assis au bar en face de moi. Je l’ai immédiatement reconnu, c’était la fille de la terrasse de café.
    Toute la soirée il y eu ce jeu de regard. Elle avait des chaussures à talon rouge et une jupe arrivant dix centimètres au dessus des genoux, assise sur le tabouret, tournée vers moi, j’avais la peau douce de ses jambes croisées juste sous les yeux. Elle sentait le sexe et il fallait de la volonté pour ne pas resté scotché dessus comme un idiot.
    J’apprendrais plus tard que si elle était seule, elle avait quand même une sorte de petit amant pour le sexe, Marco, un jeune coquin chez qui elle allait se faire baiser de temps en temps le soir. Un jeune queutard vigoureux et endurant pour des scéances de baise ou elle aimait écarter les jambes et se faire longuement ramoner et défoncer la chatte.
    C’est plus tard, en me provoquant pour me rendre jaloux avec ce garçon, qu’elle commencerait à comprendre avec malice mon potentiel de soumis et d’aptitude au cuckold.

    La troisième fois se passe à l’endroit ou je l’avais vu pour la première fois et ou je la croise un soir par hasard en cherchant un endroit ou diner. Je l’invite à se joindre à moi. Elle m’explique alors qu’elle aimerait bien mais a maintenant un rendez vous, mais que nous pouvons nous retrouver plus tard. Nous échangeons nos numéros de téléphone. Nous finirons effectivement la soirée à prendre un verre, elle, moi, et un de ses amis. Ce type de soirée ou elle est souvent accompagnée se reproduira à plusieurs reprises.

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  • Un amour, des désirs débridées à distance, Skype, whatapp, Snapchat pour les photos coquines éphémères, beaucoups de messages échangés, de fantasmes. Les extraits publiés ici.

    Un volcan dont le sexe ne cesse de réclamer caché derrière une femme apparemment sage et un pervers.

    Des amants, des maitresses, des couples... cocufiage...

    Passion, domination, soumission, cuckold.

    Une grande maison bourgeoise, plusieurs salons, un billard, des chambres contigues pour entendre ce qui se passe a coté à travers le mur, un petit bois pour se cacher et y être trouvé avec un gage... une cave en pierre, des chaines rouillées (des vraies), le fouet, la cravache pour marcher droit...

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